Homaaard, c’est avant tout une histoire de famille qui débute dans les années 2000. Si Aymerick et Arnaud se sont officiellement lancés dans cette aventure audacieuse en pleine crise du Covid, fin 2020, les deux aînés d’une fratrie de trois garçons ont cultivé ce goût et cet amour pour le vêtement bien plus tôt. Une passion héritée de leurs parents, véritables aficionados de la mode, qui prenaient plaisir à saper leurs enfants. Mais malgré l’impact important de la crise financière de 2007-2008, les garçons ont rapidement trouvé des solutions ingénieuses pour garder ce même flow, mais cette fois-ci, à moindre coût. L’un commençait à vendre ses vêtements au collège, tandis que l’autre shoppait astucieusement des pièces de créateurs à prix très avantageux.
Quelques années plus tard, Aymerick eut la brillante idée d’utiliser le savoir-faire d’Arnaud et de permettre aux gens de bénéficier de pièces chinées à un coût abordable. La machine était en marche et le projet évolua pour devenir Homaaard. Une association ingénieuse entre ce crustacé haut de gamme qui a la particularité de ne jamais vieillir, reflétant à merveille le caractère cyclique de la mode en perpétuel renouvellement, ainsi que les trois A symbolisant les prénoms des trois frères - dont Amaury, encore au lycée. Le seul homard, sans doute, qui se marie avec la baseline Eat the rich - mange les riches, un mantra révolutionnaire initié en partie par Bourdieu en France, dans les années 60.
1 coût d’acquisition + 1 gratte + taxes
Permettez-nous de vous expliquer le concept plus en détail. En plus de nous proposer une sélection d’articles de qua-li-té, Homaaard c’est aussi de la transparence sur les prix. Roberto Cavalli, Dolce&Gabbana, Lanvin ou encore Schott, l’objectif est de défier ce qui se fait dans la mode actuelle et de proposer des pièces de seconde main au tarif le plus juste, voilà ce qui les distingue. Le vestiaire, chiné aux quatre coins du monde et toujours avec soin, correspond à leurs goûts, plutôt qu’à une tendance éphémère. De plus, les fondateurs adoptent une approche minimaliste, où les logos se font discrets, laissant place à l’histoire et à l’attachement qu’ils portent aux vêtements. Cette vision s’étend également sur l’intemporalité, faisant de ces pièces des incontournables de notre garde-robe, destinées à toujours être portées dans dix ans.
Mais Homaaard, ce n’est pas seulement de la vente, c’est aussi des pop-ups ultra-chaleureux, ayant pour but de créer des connexions entre les personnes présentes - comment lier l’utile à l’agréable !
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Et pour les retardataires et les budgets plus restreints, Aymerick et Arnaud ont pensé à tout. Reach the Homaaard, ce sont des pièces plus accessibles (de 1 à 50€), ainsi que certains invendus disponibles au prix d’achat.
Pour toujours être à l’affût des nouveautés et des actus d’Homaaard, vous pouvez les suivre et prendre rendez-vous sur :
Instagram : homaaard - reach2homaaard
Écrit par Camille Noel Djaleb