À seulement 20 ans, ce rappeur de Bois-Colombes dans le 92 est en train de tout défoncer avec un style qui fait l'effet d'une bombe atomique : la jersey drill. Mais commençons par le commencement. Kerchak, de son vrai nom... bah en fait on sait pas, est né le 19 février 2004 à Soisy-sous-Montmorency.
Le parcours de Kerchak, c'est un peu comme un film de boxe où le héros passe de looser à champion. Au début, il s'appelait Zolal (le verlan de "la lose", rien que ça) parce qu'il était apparemment nul à Fifa. Mais comme dans tout bon film de boxe, notre héros s'est entraîné dur, a changé de nom pour quelque chose de plus badass, et est devenu une machine de guerre du rap.
La jersey drill, c'est quoi ce délire ? En gros, c'est comme si la drill anglaise et le jersey club américain avaient eu un enfant turbulent élevé aux stéroïdes et aux Red Bull. Le résultat ? Des sons qui te donnent envie de tout casser dans ta chambre tout en te trémoussant comme un possédé. C'est rapide, c'est violent, c'est addictif. Kerchak explique : "Je rappe sur des sons à 160 à 170 bpm, sinon je m'ennuie. Il faut que ça aille vite dans les oreilles." Autrement dit, si tu cherches des berceuses, passe ton chemin.
Ce qui est dingue avec Kerchak, c'est sa productivité. Le mec sort des sons comme Eminem sort des insultes. En 2022, il balance sa mixtape "Confiance" en seulement trois mois. Trois mois ! La plupart d'entre nous on met plus de temps à décider quelle série Netflix on va regarder. Et le plus fou ? Il a fait ça tout en allant en cours. Ouais, pendant que toi tu galérais sur tes devoirs de maths, lui il était en train de devenir la nouvelle sensation du rap français.
Niveau lyrics, Kerchak, c'est un peu comme si tu mélangeais un dictionnaire d'argot avec l'encyclopédie du gangsta rap. Violence, deal, braquages... le genre de trucs qui fait flipper les parents et kiffer les ados en mal de sensations fortes. Il utilise même une sorte de langage codé, en ajoutant des "gue" au milieu des mots. "La zone" devient "la zoguene". C'est un peu comme si Molière s'était mis au rap, mais version cité.
Cependant, faut pas se leurrer, y'a des moments où ça part un peu en vrille. Les punchlines misogynes, ça commence à être saoulant en 2024. Quand il balance des trucs du genre "j'ai dit meuf je vais mettre la moitié sur le trottoir", ça fait plus gamin edgy que rappeur visionnaire. Mais bon, le mec a 20 piges, on va pas lui demander d'avoir la sagesse de Gandhi non plus.
Ce qui est cool avec Kerchak, c'est qu'il arrive quand même à équilibrer son personnage de gros dur avec des touches d'autodérision. Quand il se compare aux Totally Spies ou qu'il se moque de son propre physique, ça ajoute une dimension sympa à son personnage. Et puis les petits "bisous" à la fin des sons, c'est tellement décalé que ça en devient marrant. C'est comme si Scarface terminait ses phrases par des emojis cœur.
Musicalement, c'est une tuerie. Les prods jersey sont tellement addictives que ça devrait être classé comme stupéfiant. Ça te rentre dans le cerveau et ça refuse d'en sortir. Le seul bémol, c'est que sur un projet entier, ça peut devenir un poil répétitif. On aurait aimé un peu plus de variété dans les samples et les mélodies. Imaginez un peu une jersey drill sur le thème des Totally Spies, ça aurait été complètement barré !
Ce qui est fascinant avec Kerchak, c'est le contraste entre son personnage de rappeur hardcore et sa vraie vie. Le mec qui rappe qu'il va "tout carrer" et qui a "un gros couteau qui coupe pas", il est en fait en BTS. C'est un peu comme si Tony Montana faisait un stage chez Apple. Ça montre bien que derrière l'image de bad boy, il y a un gamin qui a la tête sur les épaules et qui prépare son avenir. Et franchement, c'est plutôt rassurant.
En conclusion, Kerchak c'est comme un uppercut sonore qui te met KO dès la première écoute. C'est pas parfait, c'est pas toujours très fin, mais putain que c'est efficace. Le mec représente une nouvelle génération de rappeurs qui sont en train de changer la face du game. Les vieux de la vieille vont devoir s'accrocher à leur dentier, parce que la nouvelle vague arrive, et elle est pas là pour rigoler.
Alors oui, y'a des trucs à améliorer. Les lyrics pourraient gagner en profondeur, le traitement des femmes dans les textes mériterait un bon coup de polish, et musicalement, y'a encore de la place pour l'expérimentation. Mais bordel, quand t'écoutes du Kerchak, t'as juste envie de foutre le feu à ta vie et de partir à l'aventure. Et au final, c'est pas ça le but du rap ?
Le parcours de Kerchak, c'est un peu comme un film de boxe où le héros passe de looser à champion. Au début, il s'appelait Zolal (le verlan de "la lose", rien que ça) parce qu'il était apparemment nul à Fifa. Mais comme dans tout bon film de boxe, notre héros s'est entraîné dur, a changé de nom pour quelque chose de plus badass, et est devenu une machine de guerre du rap.
La jersey drill, c'est quoi ce délire ? En gros, c'est comme si la drill anglaise et le jersey club américain avaient eu un enfant turbulent élevé aux stéroïdes et aux Red Bull. Le résultat ? Des sons qui te donnent envie de tout casser dans ta chambre tout en te trémoussant comme un possédé. C'est rapide, c'est violent, c'est addictif. Kerchak explique : "Je rappe sur des sons à 160 à 170 bpm, sinon je m'ennuie. Il faut que ça aille vite dans les oreilles." Autrement dit, si tu cherches des berceuses, passe ton chemin.
Ce qui est dingue avec Kerchak, c'est sa productivité. Le mec sort des sons comme Eminem sort des insultes. En 2022, il balance sa mixtape "Confiance" en seulement trois mois. Trois mois ! La plupart d'entre nous on met plus de temps à décider quelle série Netflix on va regarder. Et le plus fou ? Il a fait ça tout en allant en cours. Ouais, pendant que toi tu galérais sur tes devoirs de maths, lui il était en train de devenir la nouvelle sensation du rap français.
Niveau lyrics, Kerchak, c'est un peu comme si tu mélangeais un dictionnaire d'argot avec l'encyclopédie du gangsta rap. Violence, deal, braquages... le genre de trucs qui fait flipper les parents et kiffer les ados en mal de sensations fortes. Il utilise même une sorte de langage codé, en ajoutant des "gue" au milieu des mots. "La zone" devient "la zoguene". C'est un peu comme si Molière s'était mis au rap, mais version cité.
Cependant, faut pas se leurrer, y'a des moments où ça part un peu en vrille. Les punchlines misogynes, ça commence à être saoulant en 2024. Quand il balance des trucs du genre "j'ai dit meuf je vais mettre la moitié sur le trottoir", ça fait plus gamin edgy que rappeur visionnaire. Mais bon, le mec a 20 piges, on va pas lui demander d'avoir la sagesse de Gandhi non plus.
Ce qui est cool avec Kerchak, c'est qu'il arrive quand même à équilibrer son personnage de gros dur avec des touches d'autodérision. Quand il se compare aux Totally Spies ou qu'il se moque de son propre physique, ça ajoute une dimension sympa à son personnage. Et puis les petits "bisous" à la fin des sons, c'est tellement décalé que ça en devient marrant. C'est comme si Scarface terminait ses phrases par des emojis cœur.
Musicalement, c'est une tuerie. Les prods jersey sont tellement addictives que ça devrait être classé comme stupéfiant. Ça te rentre dans le cerveau et ça refuse d'en sortir. Le seul bémol, c'est que sur un projet entier, ça peut devenir un poil répétitif. On aurait aimé un peu plus de variété dans les samples et les mélodies. Imaginez un peu une jersey drill sur le thème des Totally Spies, ça aurait été complètement barré !
Ce qui est fascinant avec Kerchak, c'est le contraste entre son personnage de rappeur hardcore et sa vraie vie. Le mec qui rappe qu'il va "tout carrer" et qui a "un gros couteau qui coupe pas", il est en fait en BTS. C'est un peu comme si Tony Montana faisait un stage chez Apple. Ça montre bien que derrière l'image de bad boy, il y a un gamin qui a la tête sur les épaules et qui prépare son avenir. Et franchement, c'est plutôt rassurant.
En conclusion, Kerchak c'est comme un uppercut sonore qui te met KO dès la première écoute. C'est pas parfait, c'est pas toujours très fin, mais putain que c'est efficace. Le mec représente une nouvelle génération de rappeurs qui sont en train de changer la face du game. Les vieux de la vieille vont devoir s'accrocher à leur dentier, parce que la nouvelle vague arrive, et elle est pas là pour rigoler.
Alors oui, y'a des trucs à améliorer. Les lyrics pourraient gagner en profondeur, le traitement des femmes dans les textes mériterait un bon coup de polish, et musicalement, y'a encore de la place pour l'expérimentation. Mais bordel, quand t'écoutes du Kerchak, t'as juste envie de foutre le feu à ta vie et de partir à l'aventure. Et au final, c'est pas ça le but du rap ?