Halle Berry pousse un coup de gueule. Et franchement, on la comprend. Vingt-deux piges après son Oscar, toujours pas une seule sœur noire à avoir décroché la timbale de la meilleure actrice. C'est pas faute d'avoir du talent à revendre pourtant !
Notre Halle nationale, vous savez, celle qui a mis tout le monde d'accord en 2001 avec son rôle dans "À l'ombre de la haine", eh bien elle est pas contente. Et elle l'a fait savoir cash à Marie Claire. "J'en reviens pas", qu'elle leur a dit. "Chaque année, je regarde la cérémonie et je me dis 'allez, cette fois c'est la bonne'. Et puis que dalle. C'est pas les meufs qui manquent pourtant !"
Faut dire qu'elle a pas tort, la Halle. On a eu des perfs de ouf ces dernières années. Prenez Andra Day dans "Billie Holiday", ou Viola Davis dans "Le Blues de Ma Rainey". Des tueries, les meufs ! Mais apparemment, ça suffit pas pour convaincre les vieux schnocks de l'Académie.
Berry, elle pensait avoir ouvert la voie. "J'me disais que c'était plus grand que moi, tu vois. Que j'allais être la première d'une longue lignée. Mais que dalle ! J'ai juste continué à me battre dans mon coin, comme si rien n'avait changé."
Faut dire que le milieu du ciné, c'est pas vraiment connu pour être à la pointe de la diversité. C'est un peu comme si on avait mis Halle Berry sur un piédestal en mode "Regardez, on est pas racistes, on a notre token black !". Et puis basta, retour aux bonnes vieilles habitudes.
Alors ouais, y'a eu Michelle Yeoh l'année dernière avec "Everything Everywhere All at Once". Une perf de dingue, on est d'accord. Mais une hirondelle fait pas le printemps, comme on dit. Et puis bon, entre nous, une Malaisienne c'est pas exactement ce qu'on appelle représentatif de la communauté afro-américaine, si ?
Bref, Halle Berry a raison de l'ouvrir. Parce que franchement, c'est quand même dingue qu'en 2024, on en soit encore là. Y'a du boulot les gars, sérieux. Et les meufs noires, elles méritent mieux que des miettes. Alors Hollywood, on se bouge le cul ou quoi ?
Notre Halle nationale, vous savez, celle qui a mis tout le monde d'accord en 2001 avec son rôle dans "À l'ombre de la haine", eh bien elle est pas contente. Et elle l'a fait savoir cash à Marie Claire. "J'en reviens pas", qu'elle leur a dit. "Chaque année, je regarde la cérémonie et je me dis 'allez, cette fois c'est la bonne'. Et puis que dalle. C'est pas les meufs qui manquent pourtant !"
Faut dire qu'elle a pas tort, la Halle. On a eu des perfs de ouf ces dernières années. Prenez Andra Day dans "Billie Holiday", ou Viola Davis dans "Le Blues de Ma Rainey". Des tueries, les meufs ! Mais apparemment, ça suffit pas pour convaincre les vieux schnocks de l'Académie.
Berry, elle pensait avoir ouvert la voie. "J'me disais que c'était plus grand que moi, tu vois. Que j'allais être la première d'une longue lignée. Mais que dalle ! J'ai juste continué à me battre dans mon coin, comme si rien n'avait changé."
Faut dire que le milieu du ciné, c'est pas vraiment connu pour être à la pointe de la diversité. C'est un peu comme si on avait mis Halle Berry sur un piédestal en mode "Regardez, on est pas racistes, on a notre token black !". Et puis basta, retour aux bonnes vieilles habitudes.
Alors ouais, y'a eu Michelle Yeoh l'année dernière avec "Everything Everywhere All at Once". Une perf de dingue, on est d'accord. Mais une hirondelle fait pas le printemps, comme on dit. Et puis bon, entre nous, une Malaisienne c'est pas exactement ce qu'on appelle représentatif de la communauté afro-américaine, si ?
Bref, Halle Berry a raison de l'ouvrir. Parce que franchement, c'est quand même dingue qu'en 2024, on en soit encore là. Y'a du boulot les gars, sérieux. Et les meufs noires, elles méritent mieux que des miettes. Alors Hollywood, on se bouge le cul ou quoi ?